Depuis un certain temps les réseaux sociaux sont devenus comme un moteur qui prône l’injustice raciale. En effet, la haine discriminatoire qui est dans le cœur de certains individu n’a pas manqué de se manifester sur leurs comptes des réseaux sociaux. Dès lors certaines entreprises de médias sociaux ont récemment été contraintes de faire face à des discours de haine sur leurs plateformes. Plusieurs grandes entreprises, dont Unilever, Starbucks et Verizon ont annoncé ces dernières semaines qu’elles suspendaient la publicité sur Facebook et d’autres sites de médias sociaux par crainte que les médias sociaux ne fassent pas assez pour lutter contre les discours de haine.


La suspension de ces publicités signifie aussi la perte de forte sommes d’argent, tant pour les entreprises que pour les firmes des medias sociaux. Alors pour que justice soit faite ou du moins que l’ordre s’établisse, les entreprise des réseaux sociaux doivent prendre des mesure radicale pour stopper la propagande de la haine sur la toile. Parmi ces mesure, il y’ la suspension des comptes des haineux, la suppression des messages de haine et la radiation des expressions à connotation raciale.

C’est dans ce sillage que Twitter a interdit définitivement au suprémaciste blanc David Duke de faire usage de son réseau. En effet,  le compte Twitter de Duke a été « définitivement suspendu » pour avoir violé la politique de l’entreprise contre les comportements haineux, a déclaré un porte-parole du réseau social. En principe, le suprémaciste blanc David Duke a été définitivement banni de Twitter pour avoir enfreint les règles de la plateforme sur les discours de haine, a confirmé la société jeudi soir.


Pour ce faire, le compte de Duke « a été suspendu de façon permanente, car pour Twitter il porte atteinte aux règles du réseau social de par sa conduite haineuse », a déclaré un porte-parole de Twitter dans un communiqué.


En réalité, la politique de Twitter, telle que  révisée en mars, interdit les publications qui encouragent la violence ou les menaces de violence contre des personnes en raison de leur religion, race ou origine ethnique ou toute autre appartenance.


Cependant, il faut noter que la firme Twitter n’a pas été immédiatement clair de quel message spécifique ou messages de Duke ont conduit à l’interdiction du compte. Mais ce qui est réel c’est que le compte vérifié de Duke, fondateur et ancien Grand Dragon des Chevaliers du Ku Klux Klan, était vide jeudi passé, et remplacé par un message indiquant que le compte avait été «définitivement suspendu». On ose croire que ce n’est non plus un message ou l’œuvre des hackers, vu qu’ils s’acharnent beaucoup sur ce réseau ces derniers temps. Cependant, il importe de dire que le Duke n’a pas immédiatement répondu à une demande de commentaire face à ce fait. En général, cette interdiction fait suite à une action similaire de YouTube en juin pour avoir violé sa politique d’interdiction des vidéos qui poussent des opinions extrémistes comme la suprématie blanche ou nient des événements comme l’Holocauste ou la fusillade de Sandy Hook. De plus, d’autres réseaux sociaux comme Facebook font partir de cette guerre contre l’injustice raciale sur les réseaux sociaux

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